Où l’on voit que l’on peut employer les termes « Negro », « Youpin », « Chinetoque », et faire une chanson éminemment antiraciste, n’en déplaise aux adeptes des pudeurs langagières de notre époque moralisante.
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30 juin 2022 par Floréal
Où l’on voit que l’on peut employer les termes « Negro », « Youpin », « Chinetoque », et faire une chanson éminemment antiraciste, n’en déplaise aux adeptes des pudeurs langagières de notre époque moralisante.
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C’est aussi un bel hommage, qu’on le veuille ou non, à la Franc-Maçonnerie
Il emploie l’expression « Grand Architecte », ça suffit pour en faire un bel hommage à ton avis ?
Ben il en était le bougre ! C’est en tous cas ce que j’ai lu. Et quand bien même…
Faudrait quand même demander aux youpins, chinetoques, négros, bougnoules, etc. si ça les blesse de se faire appeler comme ça, même au « second degré ». Moi par exemple une chanson antisexiste où un homme parlerait de pouffiasses, grognasses… pour désigner les femmes je me demanderais ce que ça ajoute à son propos antisexiste ?
Parmi les gens que tu énumères, il en est qui savent précisément faire la différence entre bonne et mauvaise intention. Pareille chez les femmes.
Ici, l’idée – pertinente ! – consiste précisément à reprendre les termes par lesquels les racistes désignent certaines catégories de personnes pour se ranger du côté de ceux que ces termes visent. Ça me semble évident.
Il y a bien des temps Reiser osait titrer dans Charlie hebdo
« Salut les youpins ! Ça gaze ? »
O tempora O mores.
On devient des vieux cons.